Ædificare. Revue internationale d’histoire de la construction

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Ædificare. Revue internationale d’histoire de la construction

Ædificare est une revue semestrielle internationale multilingue et pluridisciplinaire couvrant le champ historique de la construction, toutes périodes et aires géographiques confondues. La revue dispose d’un Comité scientifique internatonal et d’un Comité de lecture. Tous les articles font l’objet d’une évaluation par les pairs en double aveugle. Elle paraît en publication papier et numérique aux éditions Classiques Garnier.

Coordonnées / Contacts

Adresse postale de la revue / mailbox : Ædificare, 2, rue Jean-Baptiste Say, 75009 Paris
Adresse courriel / email : aedificare@histoireconstruction.fr
ISSN : 2557-3659

Pour les comptes-rendus de livres, articles, expositions, etc., contacter Philippe Bernardi à l’adresse suivante : bernardi.philippe@wanadoo.fr

For reviewing books, articles, exhibition, etc., please contact Philippe Bernardi by email:
bernardi.philippe@wanadoo.fr

Prix et abonnements / Prices and subscriptions

Les abonnements à la revue (deux livraisons par an) donnent accès à la version papier et à la version numérique.

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Tarifs pour les membres / Rates for the AFHC members

Les membres de l’association et les étudiants bénéficient d’un tarif préférentiel. Ces abonnements doivent être souscrits par l’intermédiaire du site de l’association.

Members of the association benefit from a preferential rate.
These subscriptions must be purchased through the website of the association.

  • Abonnements / Subscriptions for individuals : 35€
  • Abonnements étudiants / Subscriptions for students : 15€

Tarifs réguliers / Regular subscriptions

Les abonnements en dehors de l’AFHC sont directement souscrits chez l’éditeur.

Subscriptions, outside the AFHC rates, are directly purchased from the publisher.

  • Prix au numéro / Price per issue : 29€
  • Abonnements particuliers (France/Étranger) / Individual subscriptions (France/overseas) : 49 € / 56 €
  • Abonnements institutions (France/Etranger) / Subscriptions for institutions (France/overseas) : 80€ / 87 €

Les tarifs pour l’étranger sont prévus HT port compris.

Rates for overseas are excl. of tax and include shipping.

Soumission des articles / Article submission

La revue accueille volontier des propositions d’articles ou de numéros thématiques.

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Présentation (fr)

(see below for english)

Télécharger la présentation en français (FR)

Déclaration d’intention

Le succès des deux congrès francophones d’histoire de la construction (Paris, 2008 ; Lyon 2014) a démontré l’importance et le dynamisme de la recherche francophone dans ce domaine, comme la mobilisation forte des membres de la communauté européenne autour de la lingua franca. De plus, l’organisation à Paris, en 2012, du 4th International Congress on Construction History établit la forte reconnaissance internationale à l’égard de la France pour porter une telle manifestation. Ces différents congrès ont été organisés par les écoles nationales supérieures d’architecture de Paris La Villette, Paris Malaquais, Versailles et Lyon, le Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) et l’Université de Lyon 2 en partenariat avec le Centre national de recherche scientifique (CNRS) et l’Association francophone d’histoire de la construction (AFHC). Les travaux de ces grands rassemblements ont donné lieu à des publications aux éditions Picard (Édifices & Artifice, 2010 ; Nuts & Bolts, 2012 et Les temps de la construction, 2016). Enfin, devant le développement sans précédent, tant national qu’international, au cours de ces douze dernières années, du champ d’études et de recherches lié au thème de l’histoire de la construction, l’Association francophone d’histoire de la construction et l’équipe Architecture histoire technique territoire patrimoine (ENSA Paris La Villette, UMR 3329) ont décidé de lancer une nouvelle revue internationale sur ce champ.

Malgré le nombre important de revues existantes dans la sphère scientifique, technique, architecturale et patrimoniale, tant en France qu’à l’étranger, qui accueillent des travaux de notre champ de prédilection, seule une revue britannique le Construction History Journal existe depuis une trentaine d’années. Cette revue, de langue anglaise, offre aux historiens et aux praticiens, amateurs et spécialistes de l’histoire de la construction, un lieu scientifique de grande qualité pour publier et diffuser leurs travaux. Mais le grand avantage de l’anglais qui facilite la communication est aussi un handicap pour les chercheurs européens qui doivent faire traduire leurs textes. Trouver de bons traducteurs qui connaissent les notions fondamentales de la construction (anciennes et récentes) est à la fois difficile et coûteux. Nous pensons même qu’il y a une perte de sens souvent dans l’acte de traduire, aussi correctement qu’il ait été réalisé.

C’est donc pour faciliter la communication des travaux et garder la richesse des idiomes que nous envisageons de créer une revue internationale écrite en plusieurs langues européennes. Cette revue sera menée dans la perspective d’une complémentarité scientifique et avec un souci de bonne entente avec les éditeurs de l’International Journal of the Construction History Society. Le rapport de recherche L’histoire de la construction. Un méridien européen[1] qui dresse le bilan 2004-2014 par pays de la recherche et de l’enseignement dans le champ apporte la preuve incontestable de l’essor tous azimuts de l’histoire de la construction et par conséquent la nécessité d’un nouveau lieu de publication en Europe.

Objectifs

La revue poursuit quatre objectifs principaux :

  • Sensibiliser le public et les professionnels du bâtiment à la matérialité de l’architecture (rôle des matériaux, des procédés de construction, du chantier, des acteurs de la construction, etc.) ainsi qu’au patrimoine technique.
  • Créer un espace de travail permettant de rapprocher les chercheurs issus de différentes disciplines (histoire de l’art et de l’architecture, histoire des techniques, archéologie, anthropologie, histoire du droit et de l’économie, etc.) et les praticiens (architectes, ingénieurs, entrepreneurs, restaurateurs, conservateurs, etc.).
  • Rapprocher les chercheurs et les gens de métier des grandes, moyennes et petites entreprises du bâtiment en rendant compte des recherches menées dans le cadre de ces entreprises.
  • Offrir une tribune aux doctorants en leur permettant de publier des articles sur les thèses en cours, voire les résultats ou les prolongements de celles-ci.

Appel à contributions

L’Histoire de la construction n’est pas une discipline mais un objet de recherche scientifique de plus en plus sollicité tant sur le plan national qu’international. Elle concerne un objectif intemporel de l’homme, de l’Antiquité à nos jours. Pourquoi et comment réaliser une enveloppe compartimentée pour être ou agir ? Ce questionnement est nécessairement interdisciplinaire. Ainsi, si l’histoire de la construction constitue a priori un champ de l’histoire des sciences et des techniques, elle rejoint inévitablement les sciences humaines et sociales dans leurs aspects les plus variés, sur de multiples terrains, comme œuvre humaine mais dont les contextes économique, juridique, social et politique jouent un rôle déterminant. L’archéologie du bâti se complète par une archéologie de la construction. L’histoire de l’art, et en particulier l’histoire de l’architecture, en crise depuis quelques années, entreprend de s’associer à cette entreprise en choisissant des thématiques nouvelles empruntées à ce champ comme le chantier, les savoirs pratiques, les statuts des professions, etc.

L’histoire de la construction n’est pas que matérielle. Intimement liée à la conception de projet, elle participe aussi de l’immatériel. Elle relève en aval également de réflexions autour de l’homme au travail, des réseaux d’affaires et d’entreprises, et plus, de crédit, de financements, d’investissements, financiers ou idéologiques. Elle commence même à partir du moment où le maître d’ouvrage commande la conception au maçon – il fut un temps – à l’architecte ou à l’ingénieur et se poursuit par l’usage du disegnoet la réalisation fonctionnelle du bâti.

Il est possible d’aborder cette histoire de façon encyclopédique :

  • soit de manière diachronique : conception, exécution, entretien/amélioration, patrimoine
  • soit de manière synchronique : processus, acteurs, matériaux.

Mais notre volonté est plutôt de faire évoluer le savoir par l’introduction de questionnements transversaux, innovants, travaillés à partir de sources inédites, croisant des modalités appartenant à des disciplines différentes (les fouilles archéologiques, les archives papiers, les traces orales et dessinées, les savoirs pratiques non écrits, les reconstitutions et modélisations expérimentales, etc.)Les lieux de l’histoire de la construction sont pléthores : de la carrière au chantier en passant par l’usine, de la loge du tailleur de pierre aux bureaux d’études en passant par les locaux de l’entreprise, des agences d’architectes aux salles d’audience des tribunaux, en passant par la table du gestionnaire , l’étude du notaire, le scriptorium des fabriques…

Nous lançons ainsi un appel à toutes les personnes intéressées afin qu’elles proposent un article dansle champ de l’histoire de la construction quelle que soit la période d’étude choisie, de l’Antiquité au monde contemporain. Pour le démarrage de la revue, nous nous bornerons à suggérer des thèmes susceptibles d’ancrer notre réflexion dans une large dialectique séduisante à même de croiser les approches disciplinaires, comme par exemple :

  • Généalogie du champ / discipline
  • La matérialité en histoire de la construction
  • Une vision anthropologique des techniques constructives
  • Les sources multiples du chantier
  • La transmission des savoirs constructifs
  • Acteurs et agents et moyens économiques
  • Construire, entretenir, détruire
  • La propriété et le droit de construire
  • Technique ou science constructive ?
  • La littérature constructive
  • Expertise et partage du savoir technique ou empirique

Modalités de la revue

La revue d’histoire de la construction est une revue multilingue, de qualité scientifique contrôlée et principalement éditée en ligne.

  • Multilingue : sont acceptées les six langues européennes les plus parlées par les citoyens européens tant comme langue maternelle que comme langue secondaire ou langue étrangère (l’anglais, l’allemand, le français, l’italien, l’espagnol et le portugais)[2], avec l’obligation d’un résumé long en anglais.
  • Qualité scientifique contrôlée : chaque proposition sera soumise anonymement en double aveugle à deux membres du comité de lecture constitué, voire à des personnalités ad hoc choisies en fonction du sujet traité. La revue est donc labellisée par un système d’examen par les pairs et est dotée en plus d’un comité scientifique international garant du respect de ces règles.
  • La revue est éditée en ligne et en papier par Les éditions Classiques Garnier.

La revue est structurée en trois parties et introduite par un éditorial de circonstance problématisé.

  • La première est composée d’au moins quatre articles de fonds réunis, si possible, autour d’un thème et forme donc un dossier avec introduction et bibliographie. Ces articles ne sont pas limités en nombre de signes. Dans le cas où l’article est trop volumineux, il peut faire l’objet d’une publication séquencée dans plusieurs numéros de la revue.
  • La seconde, titrée varia, est composée d’articles de moindre ampleur (30-50 000 signes), de débats-controverses, de publication ou traduction de sources, d’interviews ou d’« État de la recherche » ouvert aux jeunes chercheurs pour une présentation des travaux en cours.
  • La troisième titrée comptes rendus comporte des recensions d’ouvrages, d’articles, d’exposition, etc.

[1] Antonio Becchi, Robert Carvais et Joël Sakarovitch (dir.), L’histoire de la construction / Construction History, Relevé d’un chantier européen / Survey of a European Building Site, Paris, Classiques Garnier, 2 vol., 2018.

[2] Eurobaromètre spécial n° 386 de la Commission européenne : Les Européens et leurs langues, juin 2012, étude réalisée en février-mars 2012 sur http///ec.europa.eu/public_opinion/archives/ebs/ebs_386_fr.pdf[consulté le 1er avril 2016].

Presentation (en)

(voir ci-dessus pour le français)

Download the english presentation (EN)

Statement of intent

The success of the two French-language congresses on construction history (Paris, 2008; Lyon 2014) demonstrated the importance and dynamism of French-language research in this field, as has the way the members of the European community have rallied round this lingua franca. Moreover, the organisation in Paris of the 4th International Congress on Construction History in 2012 won France international recognition.Various congresses have been organised by the architecture schools of Paris La Villette, Paris Malaquais, Versailles and Lyon, the Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) and the Université de Lyon 2 in partnership with the Centre national de recherche scientifique (CNRS) and the Association francophone d’histoire de la construction (AFHC). These congresses have given rise to publications by Éditions Picard (Édifices & Artifice, 2010; Nuts & Bolts, 2012; Les temps de la construction, 2016). Finally, given the unprecedented development, both nationally and internationally, over the past twelve years of the field of study and research connected to the theme of construction history, the Association francophone d’histoire de la construction and the research team Architecture histoire technique territoire patrimoine (ENSA Paris La Villette, UMR 3329) decided to launch a new international review in this field.

Despite the large number of existing journals in the academic, technical, architectural and heritage spheres, both in France and abroad, that publish research in our field, only one journal, the British Construction History Journal has existed for thirty years. This English-language journal offers historians and practitioners, enthusiasts and specialists in construction history, a high-quality academic place in which to publish and disseminate their research. But the great advantage of the English language, which facilitates communication, is also a handicap for European researchers who must have their texts translated. Finding good translators who are familiar with the fundamentals of construction (old and new) is both difficult and expensive. We also think that the act of translation often leads to a loss in meaning, however good the translation is.

It is thus to facilitate the communication of the research and preserve the richness of the languages that we envisage the creation of an international journal written is several European languages. The journal will be managed with a view to scholarly complementarity and a good relationship with the publishers of the International Journal of the Construction History Society. The research report L’histoire de la construction. Un méridien européen[1], which takes stock per country of the research and teaching in the field for the years 2004–14, is undeniable proof of the growth in the field of construction history and consequently of the fact that a new publication in Europe is required.

Objectives of the journal

The journal has four main objectives:

  • To make the public and construction professionals aware of the materiality of architecture (the role of the materials, construction processes, the construction site, the players in construction, etc.) and of its technical heritage.
  • To create a work space that brings together researchers from different disciplines (history or art and architecture, history of techniques, archaeology, anthropologies, history of law and economics, etc.) and practitioners (architects, engineers, restorers, curators).
  • To bring together researchers and professionals from large, medium-size and small building firms by reporting on the research carried out by these firms.
  • To provide a platform for PhD students to publish articles about their current theses and their conclusions or outcomes.

Call for contributions

Construction history is not a discipline, but a subject of scholarly research that is increasing in demand both nationally and internationally. It concerns one of humanity’s timeless aims, from antiquity to the present. Why and how to make a structured shelter for being or acting? This line of questioning is inevitably interdisciplinary. Thus, while construction history is in principle a field of the history of sciences and technology, it inevitably joins the humanities and social sciences in their most varied aspects, in numerous fields as a human endeavour but whose economic, legal, social and political contexts play a determining role. The archaeology of the built work is complemented by the archaeology of construction. The history of art, and in particular the history of architecture, which has been in crisis for a few years, endeavours to join this initiative by choosing new themes borrowed from this field, such as the building site, practical knowledge, the status of professions, etc.

Construction history is not merely material. Closely linked to the conception of the project, it also concerns immaterial aspects. That history later involves considerations of the people at work, business and corporate networks, and of credit, financing, and investment (whether financial or ideological). It begins from the moment when the client commissions a design from the mason – in days of yore – the architect or the engineer and continues with the implementation of the disegno and the functional execution of the built work.

This history may be approached exhaustively:

  • either diachronically: conception, execution, maintenance/improvement, heritage
  • or synchronically: process, actors, materials.

But we wish to further develop knowledge by introducing innovative transversal questions, developed from original sources, crossing methods belonging to various disciplines (archaeological excavations, paper archives, oral and drawn traces, non-written practical knowledge, reconstitutions and experimental modelling, etc.)

The places of construction history are legion: from the quarry to the building site via the factory, from the stone cutter’s lodge to the design offices via the company premises, from the architectural firms to the courtrooms via the administrator’s desk, the solicitor’s chamber and the scriptorium.

We thus call on all persons interested in writing a paper in the field of construction history, whatever the period chosen, from antiquity to the present day. For the launch of the journal, we only suggest themes that might root your thoughts in a wide-ranging dialectic able to cross disciplinary approaches, such as, for example:

  • Genealogy of the field / discipline
  • Materiality in construction history
  • An anthropological vision of building techniques
  • The many sources of the building site
  • The transmission of construction knowledge
  • Actors and agents and economic means
  • Constructing, maintaining, demolishing
  • Property and the right to build
  • Building technology or science?
  • Construction literature
  • Expertise and the sharing of technical or empirical knowledge

Terms and conditions of the journal

The journal of construction history is a multilingual, peer-reviewed and mainly published online.

  • Multilingual: the six most widely spoken European languages as a mother tongue, second language or foreign language (English, German, French, Italian, Spanish and Portuguese)[2] are accepted; where necessary, a summary (approximately 500 words) in English or French is required.
  • Peer-reviewed: every proposal will be anonymously submitted double-blind to two members of the reading committee or to two persons chosen on an ad hoc basis depending on the subject. The journal is thus peer-reviewed and endowed with an international academic committee that guarantees that these rules will be respected.
  • The journal is published online and in paper by Classiques Garnier.

The journal will comprise three sections and be introduced by a relevant editorial.

  • The first section will contain at least four features based, if possible, on a single theme and thus make up a special report with introduction and bibliography. The length of these articles is not limited.
  • The second section, entitled varia, will contain shorter articles (5,000–8,500 words), debates, publications or translations of sources, interviews and examinations of the “state of research” open to young researchers for presentation of their works.
  • The third section, entitled comptes rendus, will include reviews of books, articles, exhibitions, etc.

[1] Eurobaromètre spécial n° 386 of the European Commission: Les Européens et leurs langues, June 2012, study carried out in February–March 2012: http://ec.europa.eu/public_opinion/archives/ebs/ebs_386_fr.pdf[consulted on 1 April 2016].

[2] Antonio Becchi, Robert Carvais et Joël Sakarovitch (dir.), L’histoire de la construction / Construction History, Relevé d’un chantier européen / Survey of a European Building Site, Paris, Classiques Garnier, 2 vol., 2018.

Comités / Committees

Comité éditorial / Editorial Board

  • Philippe Bernardi, CNRS, Laboratoire de médiévistique occidentale de Paris, UMR 8589, Université Panthéon Sorbonne
  • Robert Carvais, CNRS, Centre de théorie et analyse du droit, UMR 7074, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, ENSA Paris Malaquais et Paris La Villette
  • Valérie Nègre, Université Paris-Sorbonne, Institut d’histoire moderne et contemporaine (CNRS, UMR 8066)

Secrétariat scientifique / Scientific Secretariat

  • Emmanuel Château, Université de Montréal, conseiller en humanités numériques
  • Maxime L’Héritier, Université de Paris 8, EA 1571, Histoire des Pouvoirs, Savoirs et Sociétés (HISPOSS)
  • Sandrine Victor, Université d’Albi, UMR 5136 France Méridionale et Espagne: Histoire des sociétés du Moyen Age à l’époque contemporaine

Comité scientifique / Scientific Committee

  • Dominique Barjot, Université Paris-Sorbonne
  • Jacopo Bonetto, Università degli Studi di Padova
  • James Campbell, Cambridge University
  • Linda Clarke, University of Westminster
  • Krista De Jonge, University of Leuven
  • Janet Delaine, Oxford University
  • Roberto Gargiani, École polytechnique fédérale de Lausanne
  • Alberto Grimoldi, Politecnico di Milano
  • André Guillerme, Conservatoire national des arts et métiers
  • Santiago Huerta, Escuela Técnica Superior de Arquitectura de Madrid
  • Karl-Eugen Kurrer, Wilhelm Ernst & Sohn Verlag (Berlin)
  • Lynne Lancaster, University of Ohio
  • John Ochsendorf, American Academy of Rome
  • Antoine Picon, Harvard Graduate School of Design
  • Philippe Plagnieux, Université, Panthéon-Sorbonne
  • Sergio Poretti †, Università di Roma Tor Vergata
  • Jean-Pierre Van Staëvel, Université Panthéon-Sorbonne

Comité de lecture / Reading Committee

  • Bill Addis, ETH, Zürich
  • Michela Barbot, CNRS, Institut et dynamiques historiques de l’économie et de la société, ENS Cachan
  • Antonio Becchi, Max-Planck-Institut für Wissenschaftsgeschichte
  • Inge Bertels, University of Antwerp
  • Robert Bork, School of Art and Art History, University of lowa
  • Stefano Camporeale, Université degli studi di Trento
  • Pierre Caye, CNRS, Centre Jean Pépin
  • Alexandre Cojannot, Archives Nationales, Paris
  • Maria Grazia D’Amelio, Université di Roma 2 Tor Vergata
  • Hélène Dessales, École normale supérieure, Paris
  • Joan Domenge Mesquida, Universitat de Barcelona
  • Pascal Dubourg Glatigny, CNRS, Centre Alexandre Koyré
  • Daniela Esposito, Sapienza, Université di Roma
  • Ulrike Fauerbach, Eidgenossische Technische Hochschule, Zürich
  • François Fleury, École nationale supérieure d’architecture de Normandie
  • Federico Garcia Erviti, Universidad Politéchnica de Madrid
  • Javier Giron Sierra, Escuela Técnica Superior de Arquitectura de Madrid
  • Franz Graf, École polytechnique fédérale de Lausanne
  • Jean-Marie Guillouët, Université de Nantes
  • Riccardo Gulli, Université di Bologna
  • Stephan M. Holzer, ETH,  Zürich
  • Tullia lori, Université di Roma Tor Vergata
  • Guy Lambert, École nationale supérieure d’architecture Paris-Belleville
  • Katie Lloyd Thomas, Newcastle University
  • Fanny Madeline, Fondation Thiers, CNRS
  • Manuela Martini, Université Lumière Lyon 2
  • Joao Mascarenhas Mateus, Universidade de Lisboa
  • Dominik Maschek, University of Birmingham
  • Virginie Mathé, Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne
  • Torsten Meyer, Deutsches Bergban-Museum Bochum
  • Camilla Mileto, Universitat Politècnica de València
  • German Navarro Espinach, Universidad de Zaragoza
  • Marco Rosario Nobile, Université di Palermo
  • Émilie d’Orgeix, Ecole pratique des hautes études
  • Giovanni Di Pasquale, Museo Galileo – Istituto e Museo di Storia della Scienza (Firrenze)
  • Antonio Pizzo, Consejo Superior de Investigaciones Cientificas – Instituto Arqueologico de Mérida
  • Dominique Raynaud, Université de Grenoble
  • Maria do Carmo Ribeiro, Universidade do Minho
  • Dorothée Rippmann, University of Zurich
  • Juan Clemente Rodriguez Estévez, Universitad de Sevilla
  • Linnéa Rollehagen-Tilly, École nationales supérieure d’architecture Paris La Villette
  • Oliva Rodriguez Gutierrez, Universidad de Sevilla
  • Ben Russell, University of Edinburgh
  • Hermann Schlimme, Technische Universität Berlin
  • Jean-Jacques Schwien, Université de Strasbourg
  • Arnaldo Sousa Melo, Universidade do Minho, Braga
  • Arnaud Timbert, Université d’Amiens
  • Jos Tomlow, Hochschule Zittau/Gorlitz
  • Klaus Tragbar, Leopold Franzens-Universitat Innsbruck
  • Fernando Vegas Lopez-Manzanares, Universitat Politècnica de València
  • Christine Wall, University of Westminster
  • David Wendland, BTU Cottbus-Senftenberg
  • David Yeomans, International council on monuments and sites
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